« Coup de projecteur sur l’art d’un survivant de la Shoah, qui s’accroche à ce qui lui reste : l’alphabet yiddish. Il ne comprend pas cette langue mais la déporte sur les toiles, comme une interrogation foncière. Les lettres se bousculent dans ses œuvres en forme de palimpseste de la béance, comme autant de signes hallucinatoires d’une nuit et d’un brouillard à la fois immémoriaux et cuisants. Fabuleux ! ... » Antoine Perraud Télérama